Table ronde des partenaires techniques sur la recherche parlementaire au Bénin
Barthélémy KASSA, Premier Vice Président de l’Assemblée nationale du Bénin, a lancé les travaux de la table ronde des partenaires techniques et financiers sur la recherche parlementaire au Bénin, le vendredi 25 octobre 2024, à Cotonou. En effet, l’institut parlementaire du Bénin (IPaB) organe chargé de proposer les voies et moyens pour un renforcement de capacités technique, organisationnelle et fonctionnelle de l’Assemblée nationale s’est proposé de mobiliser les partenaires techniques et financiers autour de certains de ces domaines d’intervention que sont: la législation, les droits de l’homme, la nutrition, la sécurité alimentaire, le développement durable et l’environnement. C’est une initiative qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du plan stratégique 2025-2026 de l’institut.
L’ancien député, Sèdami Médégan FAGLA, directrice de l’IPaB a indiqué qu’au regard des nombreux défis à relever par l’IPaB dans un environnement socio-politique en pleines mutations, il y a lieu d’interagir avec les partenaires intervenant dans divers domaines pour l’atteinte des objectifs fondamentaux de l’institut. La finalité est d’apporter une contribution positive à la recherche parlementaire et à la consolidation des missions du parlement béninois.
Barthélémy KASSA a rappelé le rôle de l’IPaB qui est pour l’Assemblée nationale, le laboratoire d’études et de recherches chargé également du renforcement des capacités des parlementaires à travers la mise à leur disposition d’informations critiques, d’analyses approfondies et des recommandations éclairées pour un meilleur accomplissement de leurs missions de vote des lois et de contrôle de l’action gouvernementale. C’était aussi l’occasion pour lui d’exprimer les remerciements de l’Assemblée nationale à tous les partenaires techniques et financiers qui, depuis tant d’années, apportent leurs expertises et leurs concours à un meilleur fonctionnement du parlement béninois.
Rappelant l’ambition du parlement qui est celle de sceller la continuité des programmes de coopération, de renforcer le partenariat entre les institutions, élever le niveau de ce partenariat et l’adapter aux nouvelles orientations stratégiques, il considère que la contribution de chaque partenaire dans cet effort collectif peut être d’un apport essentiel dans la limite des attributions constitutionnelles de l’institution.