Qualification Coupe du monde 2026 : le capitaine nigérian William Troost-Ekong met la pression sur les Guépards du Bénin

À la veille du match décisif entre le Bénin et le Nigéria comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2026, le capitaine des Super Eagles, William Troost-Ekong, a tenu un discours fort. À travers une déclaration relayée par les médias sportifs nigérians, le défenseur central a affiché la détermination de son équipe à décrocher une victoire éclatante face aux Guépards du Bénin.
« Nous voulons participer à la Coupe du monde, nous l’avons dit au cours des neuf derniers mois et nous en avons l’opportunité maintenant avec le match à Uyo contre le Bénin où nous savons que nous devons marquer un certain nombre de buts. Nous devons gagner le match et nous devons le gagner de manière convaincante », a martelé le capitaine nigérian.
Cette sortie du défenseur de 30 ans traduit la volonté des Super Eagles de ne laisser aucune place au doute dans cette dernière ligne droite des qualifications. Le Nigéria, actuellement troisième de son groupe derrière le Bénin et l’Afrique du Sud, joue gros dans cette rencontre à haute tension. Une victoire est impérative pour espérer coiffer les Guépards au classement et garder toutes leurs chances de se qualifier pour le Mondial 2026 prévu aux États-Unis, au Canada et au Mexique.
Une bataille sportive sous haute tension
De leur côté, les Guépards du Bénin abordent ce duel historique avec sérénité et confiance. Leaders du groupe avec deux points d’avance sur leurs poursuivants, ils savent qu’un succès face aux Super Eagles leur ouvrirait pour la première fois la voie d’une qualification à une Coupe du monde. Sous la houlette de Gernot Rohr, ancien sélectionneur du Nigéria, le Bénin affiche une détermination sans faille et un collectif en pleine confiance.
Le match s’annonce donc électrique à Uyo, où les deux nations joueront leur destin. Entre la confiance des Nigérians et la solidité retrouvée des Béninois, la rencontre promet un spectacle haletant. Les supporters des deux camps retiennent leur souffle, conscients que l’histoire du football ouest-africain pourrait s’écrire dans les prochaines 90 minutes.